Figurine en porcelaine représentant un Capitaine des Mameluks de la Garde Impériale.
Il s'agit d'une édition spéciale, qui se distingue par le réalisme des détails et des matériaux utilsés.
Les pistolets retenus par une cordelette dorée peuvent être sortis du kobourg en cuir vert galonné d'or.
La ceinture est de tissu rayé.
La giberne et la banderole de giberne sont en cuir vert également rehaussés d'or.
Le sabre est parfaitement représenté et le fourreau est recouvert de galuchat gris. Il est suspendu par des cordons de laine multicolore tressée.
La terrasse porte, à l'arrière, la mention "Mameluk de la Garde Capitaine 1813".

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Superbe dague de chasse, d'époque Napoléon III, finement gravée de motifs floraux et de feuillages.
La poignée est en ivoire, le pommeau est en forme de couronne comtale. La croisière est à deux quillons droits légèrement évasés. Elle surmonte un plateau portant un ecusson vierge d'attribution.
La lame à triple gouttière est gravée de perles et de fleurs. Elle porte au talon la mention "Perrin à Paris".
Le fourreau bleui est gravé à ses deux extrémités des mêmes motifs floraux. Il est également signé "Perrin à Paris".

Perrin : célèbre arquebusier tenant boutique 51, rue Laffitte à Paris.

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Sabre de luxe d'un officier supérieur.
Garde dorée à une branche en arc de cercle. Poignée en ivoire finement quadrillée. Branche de garde décorée de feuillages et de fleurettes. Quillon recourbé en bouton. Calotte à courte queue en forme de tête de lion. Oreillon en écu orné d'une palmette.
Lame courbe à un pan creux, bleuie au tiers et réhaussée de motifs floraux dorés.
Fourreau de laiton doré, bordé de frises, orné de trois magnifiques cabochons sculptés "au repoussé", figurant des trophées d'armes. Bracelets de bélière également décorés de frises en suite.

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Elégante épée d'officier général (ou d'Etat Major), possiblement de marine.
Fine poignée à plaquettes de nacre bordées de guirlandes de feuilles de chêne et de laurier. Pommeau à côtes de melons, orné de feuilles d'acanthe et des foudres de commandement.
Branche de garde en arc de cercle, joignant le pommeau par une coquille Saint Jacques. La branche de croisiere est ornée, vers l'avant, d'un muffle animal et se termine, vers l'arrière, en forme de fourche à double quillon fleuri. La virole est gravée de feuilles de chêne. Le plateau de garde est décoré de trophées d'arme.
Lame, sans piqures, à section losangique, bleuie au tiers et décorée de motifs floraux dorés.
Fourreau de cuir à deux garnitures. La chape est gravée d'une double frise à losanges et d'une toile d'araignée. Le bouton de chape est en forme de casque. La bouterolle est decorée en suite.
Cette épée reprend tous les symboles du haut commandement : feuilles de chêne, foudres de commandement, casque, toile d'araignée.
La présence de la coquille Saint Jacques sur la branche de garde peut symboliser l'appartenance à la marine.
Cette arme a conservé 95% de sa dorure d'origine.

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Sabre d’officier de cavalerie légère à la chasseur.
Poignée recouverte de basane avec filigrane de fils de cuivre rouge torsadé.
Lame bleuie et dorée au tiers, gravée à partir du talon de divers trophées et guirlandes, signée dans un cartouche, côté garde « Coulaux frères » et côté contre-garde « Manufacture de Klingenthal ». Des deux côtés de la lame figure l’aigle impériale (Le décor de cette lame est en tout point identique à la lame du sabre figurant p 283 du livre « Sabres français » de Christian Blondieau).
Le fourreau comporte une découpe d’encastrement des oreillons. Les bracelets et les pitons de bélières à facettes sont du type An IX. La chape, côté contre-garde, est signée « Manuf imp Boutet Versailles », ce qui en fait une pièce de prestige.
NB : Ce sabre de combat, compte tenu de la qualité de la lame, de la signature de Boutet et de la présence des aigles impériales, peut être attribué à un officier de la Garde Impériale. L’allure générale est dans le goût des officiers des Gardes d’Honneur (voir Tradition Magazine N° 145, voir aussi ancienne collection Pierre-Maxime Glain, première vente à Angers 1981 n° 160 du catalogue).

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Magnifique sabre d’officier supérieur de cavalerie légère à la chasseur.
Poignée recouverte de basane avec filigrane de fils d’argent torsadés, garde à trois branches ayant conservé sa dorure.
Magnifique lame dorée au tiers et finement gravée à l’eau forte, à partir du talon, de guirlandes et de divers trophées caractéristiques des hussards, signée dans un cartouche, côté garde « Klingenthal » et côté contre-garde « Coulaux frères ». Sur chaque côté de la lame figure une scène de bataille. Coté garde une charge de hussards contre un parti d’infanterie russe. Côté contre-garde une charge de hussards menée par un officier supérieur en chapeau contre un parti de cavalerie. Ces scènes rappellent probablement les faits d’armes du propriétaire et sont probablement de la main de Bisch graveur de la manufacture de Klingenthal
Côté garde figure le blason des Dursus de Courcy surmonté d’une couronne de marquis : d’or à trois pies grièches au naturel, accompagnées d’un soleil de gueules posé en abîme. Le blason est adossé à des lions.
Sur la branche de garde, côté contre-garde, figure le monogramme du propriétaire, J A D, entrelacés, probablement Jacques, Philippe, Auguste Dursus de Courcy, dit le Chevalier Dursus.
Les bracelets et les pitons de bélières à facettes du fourreau en fer sont du type An IX.
Cette arme a conservé 95% de sa dorure.
Jacques, Philippe, Auguste Dursus, marquis de Courcy : né à Emondeville, circonscription de Valognes, le 25 avril 1758. Sous-Lieutenant au Régiment de Soissonnais en 1774. Campagne d'Amérique sous les ordres de Rochambeau. Blessé au siège d'York. Quitte l'armée de terre pour la marine en 1783, puis revient au Régiment de Soissonnais en 1784 avec le grade de Capitaine. Emigre et rejoint l'armée de Condé en 1792. Passe en Angleterre, puis à Saint Petersbourg, en Russie, où il devient précepteur des enfants de Condoidi. Rentre en France en 1802 et participe aux campagnes de l'Empire chez les Hussards. Fait chevalier de l'ordre de Saint Louis à la première Restauration. Se retire dans ses terres à Valognes, où il meurt le 3 janvier 1828. Il inspira à Jules Barbey d'Aurévilly le personnage du Chevalier Rifus dans son roman "Le chevalier des Touches".

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